5 Millions d’acouphéniques en France

Allant de la simple gêne légère en milieu calme, à des acouphènes persistants et gênants affectant le quotidien du patient, jusqu’au handicap grave d’un acouphène invalidant, qu’y a –t-il en commun ?

Comment traiter en préventif des situations qui pourraient peut-être, un jour, devenir des facteurs de risques pouvant provoquer des crises d’acouphènes beaucoup plus sérieuses ?

Comment traiter en curatif l’acouphène naissant qui peut devenir chronique, éviter une rechute de l’hyperacousie, avoir les mots justes qui vont rassurer et aider à mettre en place le processus d’habituation ?

Y a-t-il des protocoles de séances qui aident mieux certains patients selon les circonstances ? Quels patients ? Quelles circonstances ? 

Toutes les recherches et le travail que nous mettons en place sur le sujet doivent respecter le principe de référence à un diagnostic médical.
Au départ et en se référant toujours au médecin ORL : c’est lui qui examine, diagnostique, oriente, constate l’efficacité des soins et mesure la diminution de la gêne ou du handicap face aux symptômes.

Les membres du réseau de sophrologues du Pôle Sophrologie et Acouphènes® appliquent le protocole de l’étude "Première évaluation de la prise en charge sophrologique de l’acouphène subjectif" publiée aux Annales Européennes ORL en mai 2020. Ce protocole est enseigné aux membres par Patricia Grévin.

Les personnes souffrant d’acouphènes bénéficient de cet accompagnement spécifique.

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En France plus de 5 millions de personnes souffrent d’acouphènes.

  • 8 à 10 % de la population,
  • 5 % gênants,
  • 1 % handicapants,
  • 0,5 % invivables.

La tolérance est donc la norme